I had made you a cookie, but I ate it...I'm really sorry...

Est-ce que c'est ça grandir ? Avoir aussi mal qu'avant, mais arriver à se taire ?

              Did I disappoint you or let you down?
Should I be feeling guilty or let the judges frown?
'Cause I saw the end before we'd begun,
Yes I saw you were blinded and I knew I had won.
So I took what's mine by eternal right.
Took your soul out into the night.
It may be over but it won't stop there,
I am here for you if you'd only care.
You touched my heart you touched my soul.
You changed my life and all my goals.
And love is blind and that I knew when,
My heart was blinded by you.
I've kissed your lips and held your head.
Shared your dreams and shared your bed.
I know you well, I know your smell.
I've been addicted to you.
 
Goodbye my lover.
Goodbye my friend.
You have been the one.
You have been the one for me.
 
I am a dreamer but when I wake,
You can't break my spirit - it's my dreams you take.
And as you move on, remember me,
Remember us and all we used to be
I've seen you cry, I've seen you smile.
I've watched you sleeping for a while.
I'd be the mother of your child.
I'd spend a lifetime with you.
I know your fears and you know mine.
We've had our doubts but now we're fine,
And I love you, I swear that's true.
I cannot live without you.
 
Goodbye my lover.
Goodbye my friend.
You have been the one.
You have been the one for me.
 
And I still hold your hand in mine.
In mine when I'm asleep.
And I will bear my soul in time,
When I'm kneeling at your feet.
Goodbye my lover.
Goodbye my friend.
You have been the one.
You have been the one for me.
I'm so hollow, baby, I'm so hollow.
I'm so, I'm so, I'm so hollow.

La porte se referme, elle ne se retourne pas.

Elle descend l’escalier, à l’étage en dessous, son regard embué se pose sur la sonnette d’H. Joyeux. Ca les faisait rire avant. A peine quelques instants plus tard, elle est déjà dans le hall. Jamais ces cinq étages ne lui avaient paru aussi courts. Elle aurait aimé que ce soit comme dans la Bibliothèque de Babel, et qu’elle descende à l’infini, sans jamais être vraiment encore partie. A chaque marche, elle guettait le son de la porte, un bruit de pas précipité, sa voix qui la rappelait, qui la retenait, mais rien.

Elle essaie de ne pas regarder la boîte aux lettres. Peut-être ne la verra-t-elle plus jamais. Peut-être ne lira-t-elle plus jamais le nom écrit dessus. Elle ne pourra plus se mettre sur la pointe des pieds, et scruter l’intérieur sombre de la boîte, à la recherche d’une lettre qui ne soit pas une pub pour un voyant.

Elle accélère brusquement, atteint la porte et l’ouvre brusquement, comme s’il elle avait peur de devenir folle si elle ne sortait pas tout de suite.

La rue.

La rue, avec ses bruits, ses passants insouciants. Elle passe devant le magasin si joli. Là où il lui a acheté ce magnifique collier pour Noël dernier. Elle dépasse la boulangerie avec une boule dans le ventre. La tradition 1€. Toute chaude et croustillante. L’image de sa bouche gourmande croquant dedans avec force se grave sur sa rétine. 90 centimes le pain au chocolat du matin. Enfin, 1€80, puisqu’il en mange deux. La tarte à la framboise qu’il aime tant…Elle a oublié le prix. Elle ne lui en a pas acheté cette fois ci. Elle continu, passe devant l’épicerie aux bananes pourries. Arrivée à la grande rue, elle s’efforce de ne pas voir les magasins mais c’est plus fort qu’elle.

Tati, elle avait acheté une poêle une fois là-bas pour lui faire des galettes. Et il lui avait acheté son coussin en forme de cochon, celui qui ressemble à un personnage de Tex Avery.

Le Mac Do. Elle entend sa voix, même s’il n’est pas là. « Bid Mat » Elle aimerait sourire mais ne peut pas. Elle s’engouffre dans le métro, en essayant de ne pas penser au fait que c’est peut-être la dernière fois qu’elle passe dans cette station.

Le métro.

Elle scrute son visage dans la glace. Pas de traces de larmes, pas d’yeux rouges ou de nez qui coule. Elle n’a pas pleuré. Elle a juste l’air d’un zombie. Elle a l’air démunie, désemparée, impuissante. Elle détourne les yeux. La bandoulière de sa valise lui scie l’épaule. D’habitude, il la lui portait gentiment pendant qu’elle trottinait à côté s’inquiétant en continu « Ca va, c’est pas trop lourd ? »

Gare Saint Lazare.

Les couloirs sont long mais elle reconnait le chemin, elle l’a fait tant de fois. Elle arrive dans la gare. Un peu perdue, beaucoup même. Elle cherche la voie de son train, la trouve, elle a un quart d’heure d’avance. Sa tête est vide, tellement vide mais douloureuse. Elle a mal au ventre aussi. Et une boule dans la gorge l’empêche d’articuler le moindre son. Elle poinçonne son billet, monte dans le train. Son Mp3 déferle les mêmes sons qu’à l’aller, mais elle l’éteint avec agacement. Tout lui fait mal. Tout lui fait penser à lui. Chaque mot, chaque objet qu’elle croise, chacune de ses pensées l’emmène, l’embarque vers une autre qui se raccroche à lui. Le voyage est interminable. Elle est fatiguée, lasse, complètement vide. Elle n’ouvre pas la bouche du trajet, prends quelques médicaments dans son sac avec de l’eau qui lui brûle la gorge. Elle a un goût acre sur sa langue. Changement, nouvelle gare, attente. Encore des amoureux sur les quais. Et là ca la frappe, comme un coup de couteau, toutes ses fois où elle a pleuré comme une gamine, quand elle partait, ou que lui partait. Si elle avait su qu’un jour…Tout lui paraît futile et anodin, au fur et à mesure qu’elle réalise plus rien n’existe d’autre que sa douleur grandissante, qui prend de plus en plus de place, qui prend toute la place.

Arrivée.

Son esprit marche au ralenti. Elle n’a pas envie de rentrer, de se retrouver toute seule dans sa chambre, d’y penser…Elle n’a pas faim, elle n’a envie de rien. A qui se raccrocher à présent ?

Elle va chez P, histoire de…C’est son père qui lui ouvre. Politesse, sourire forcé. Elle monte à l’étage. Sa mère. Politesse, sourire forcé. Et soudain dans son dos, la voix de P.

Elle se retourne, et le sourire aimable qu’elle s’était fabriqué éclate, se brise en milles morceaux, se fracasse par terre, elle essaie de dire quelque chose, histoire de rattraper sa mine d’enterrement, mais le filet de voix fluet est étranglé et aussitôt un premier sanglot, qui force, pousse sa cage thoracique, l’étouffe, l’oppresse, et sort enfin, suivit de tous ceux qu’elle a retenu durant ces deux jours, et ca n’en finit plus. Elle a la vague sensation de la main de P sur son épaule, qui l’emmène jusqu’à sa chambre, l’assied sur le lit, l’entoure de ses bras. Elle pleure à gros sanglots.

Tous ces sanglots retenus. Chaque minute, ils s’accumulaient en elle, et ils sortent maintenant avec tellement de violence qu’elle a mal physiquement. Ses yeux la brûlent, tout son corps tremble, sa gorge nouée la fait souffrir, et elle pleure, sans retenue, son visage dans ses mains, pliée en deux.

Ils ont parlés un peu après…Quand elle s’est calmée. Ca allait mieux. Elle est rentrée chez elle. Maintenant que tout était sorti, la même grande tristesse l’envahie, une espèce de gouffre sans fond dans lequel elle se laisse couler, incapable de lutter.

Le lendemain elle ne bouge pas de son lit. A par pour prendre du Lexomil. Ca lui fait un peu de bien, elle se sent moins mal. Elle pense la même chose, mais comme si elle était extérieur à tout ce qui se passait. Elle dors mal cette nuit là aussi.

Elle se lève, va en cours, parce qu’elle ne pourra pas rester toute sa vie comme ça, elle le sait bien. Alors elle se bouge du mieux qu’elle peut.

Elle sourit avec le cœur en miettes, elle rit avec un poignard dans le ventre, elle parle avec du feu dans la gorge. Chaque geste, chaque mot, chaque regard lui coûte. Tout est si futile, comment, comment a-t-elle pu se plaindre de choses si idiotes…Alors que maintenant oui, maintenant elle souffre, maintenant elle a mal, comme elle n’a jamais eu mal. Tout se passe au ralenti devant ses yeux, tout son corps bouge doucement, mais ca doit être une impression, puisque personne ne semble rien remarquer. Parce que bien sûr, elle n’a rien dit. Pour les autres ce n’est surement qu’une amourette adolescente, mais pour elle, c’est toute sa vie qui s’écroule. Il l’avait révélée à elle-même, il avait su la sortir de cette torpeur noire et destructrice où elle baignait depuis si longtemps, il l’avait rendu heureuse, comme elle n’aurait jamais osé en rêvé, il l’a rendu amoureuse, comme elle n’aurait jamais imaginé l’être…Il est tout pour elle, toute sa joie, tout son bonheur, tout son espoir, tout son désir, son amour.

Elle y repense sans cesse, à ses mails, à ses lettres, à ses mots au creux de son oreilles « Je t’aimerai toujours » « Je suis prêt à passer ma vie avec une seule et unique personne, si cette personne c’est toi »

La douleur pointe son nez avec un peu plus d’audace encore, ca devient insupportable. Elle ferme les yeux, respire calmement. Tout va s’arranger, c’est rien que la vie qui tousse un peu. Il faut être forte, et tout se passera bien. Être forte, être forte, être forte…

Elle pleure.

Je me rends compte, de plus en plus, que j'ai un espèce de gros vide dans le coeur. Et je sais pourquoi. Je suis toute seule. J'ai perdu les personnes à qui me confier. Celles à qui je tenais tant, et dont je n'ai aujourd'hui presque plus de nouvelles, à part par blogs interposés.

Ca me manque. Je n'ai pas envie d'aller les voir, et de leur dire "Excusez moi d'être aussi conne et de ne pas vous avoir parlé pendant longtemps, vous me manquez, on redevient copain comme avant ? "

J'assume ma connerie. D'avoir cru que certaines personnes me rendraient plus heureuse que celles là. J'assume mes erreurs. Avoir cru que des amis habitant aussi loin ne remplacerait jamais des amis proches qu'on verrait tous les jours.

C'était complètement idiot. Aujourd'hui, je donnerai n'importe quoi pour revenir en arrière, pour pouvoir leur parler, à tous les trois, dès que je peux, pour pouvoir leur envoyer des sms, en étant certaine qu'ils me répondront, pour qu'ils n'y ai plus ces blancs dans nos conversations les rares fois où on en a d'ailleurs.

Un simple coucou de leur part, un simple SMS me ferait plus plaisir que n'importe quel soirée géniale, n'importe quelle sortie sympa. Je les ai tellement aimé, le vide qu'ils laissent dans mon coeur est insupportable, je les aime encore tellement, et je souffre tant de ne plus faire partie de leurs existences...

Et le pire de tout, c'est que je ne sais pas comment réparer tout ça....

Trop de boulot. Ca me plante putain...Autant les exos écrits ne me pèsent pas, parce que quand c'est fini c'est fini, autant apprendre des choses m'horripile...J'ai l'impression de n'avoir jamais fini, de toujours pouvoir faire mieux etc...Je n'ai pas le courage de m'y mettre, ni vraiment le coeur.

J'ai un ptit creux de moral et ça me plaît pas. Ca me plaît pas parce que je me connais assez bien pour savoir comment ça va se terminer si je ne fais rien, et que je me connais assez pour savoir que je n'ai pas envie d'y faire quoi que ce soit.

Je suis plutôt faible, je me laisse aller, et j'ai pas de volonté. Et oui, personne n'est parfait.

Je suis malade, fatiguée, j'ai mal au dos...Pas la grande forme, quand aux relations humaines, en ce moment, ca coule à pic.

Génial.

Ma vie n'est qu'un espèce de gros trou à ordures recouvert de gazon anglais.

Ca me fais mal, affreusement mal, mais je ne peux pas le dire, je ne veux pas le dire. Je n'en ai pas le droit. Pas le droit de me plaindre, pas le droit de pleurer.

Encaisse. En silence. Ne dis rien, ne te plains jamais, ne montre pas que tu souffres, ne pleure pas.

C'est fini maintenant, plus de petite fille qui se laisse protéger par les autres. Je suis seule, et je dois me protéger moi-même, ce que je n'arrive pas à faire apparement. Alors le moins du monde, c'est de ne faire chier personne avec ça.

Encaisse et tais-toi. Ferme ta putain de gueule. Souris.

Encaisse et Ferme ta Gueule.

Et voilà, la première semaine de vrai cours va commencer demain matin...

Je suis assez motivée, même si j'ai parfois du mal à me concentrer longtemps sur ce que disent le sprofs, j'ai cette merveilleuse facultée de pouvoir penser à autre chose tout en écoutant les gens parler, et j'arrive pas à m'empêcher de l'utiliser...Vilaine, vilaine fille !

Demain matin, deux heures d'histoire de l'art <3 et deux heures de philo...ca devrait passer assez vite. Par contre, j'espère ne pas avoir trop de travail, parce que lundi parès les cours, j'ai 2h de conduite, mardi je donne des cours de soutien jusqu'à 19h, jeudi j'ai du kiné, et deux heures de soutien avec deux élèves différents , fiuuu chargé comme semaine, mais bon, ca me fait des sous en plus, donc tant pis, je me sacrifie.

SUrtout qu'à ce rythme là, j'ai environ une centaine d'euros par moi, ce que n'est pas négligeable. Je ne sais pas encore ce que je vais en faire, j'aurai besoin d'une partie pour offrir son cadeau de noel à mon chéri ( oui, j'ai déjà choisi, mais c'est un secret !!! ) et le reste ?? Je vais économiser, j'aurais besoin d'argent pour mon matériel artistique l'année prochaine, et j'aimerai avoir une déco d'appart sympa, donc je pense que ca va aller la dedans !

Je vais filer me coucher, je suis un peu crevée et demain j'aurai besoin d'énergiiiiiiiie ( rien de mieux pour ça que de faire l'amour le matin, mais personne ne s'est porté volontaire XD )

Allez, bon dodo les gens !

PS : Je précise que je n'ai qu'un SEUL copain, mais j'ai la flemme d'éditer. Tant pis ^__^ Laisse le doute planer dans ton esprit et offre moi des bagues en diamant pour me retenir mon chéri ^3^

J'ai la TNT <3
Enfin, c'est pas vraiment la TNT parce que je l'ai par l'ADSL donc j'ai des chaînes en plus, je sais même pas tout ce que j'ai, mais après un petit test, j'ai "Fashion TV" XD / "Manga" T___T ( c'est honteux, encore passer des animes en VF sur les chaînes hertziennes, ok, mais le spasser en VF sur une chaîne spécialisée, ca craint, et ça fait bobo aux oreilles...   >__< ) et et et et GULLIIIIIIIII *___*

A moi les heures entières d'Oggy et les Cafards <3 Youhouuuu

Plus sérieusement ( oui parce que vous comprenez les enfants, vous êtes en terminale maintenant, il faut être sérieux et travailler dur, vous allez pas avoir votre bac par miracle, blablabla ), ce matin, sans doute pour la première fois de ma vie, j'ai mis mon réveil un samedi matin pour tra-va-iller !! Et j'ai bien fait, j'ai finis ma traduction d'allemand, le sujet de Bac d'anglais, l'histoire et la philo ce matin, et j'ai pu passer l'après midi en ville à rien glander, à part teste la pâte à ballons. Ce truc est une pure merveille : ca a la consistance et l'odeur de la colle ( oui vous savez, celle que vous vous mettiez dans la paume de la main en primaire, et après quand vous frottiez ca fesait comme si vous vous epluchiez la main ^__^ ) mais c'est coloré, et vous mettez un peu de ce truc au bout d'une sorte de paille rigide, vous soufflez et ca fait une buuuuuulle <3 Bon, certe c'est pas très solide, mais c'est super mignon, et quand ca se dégoufle, ca fait un genre de papier cellophane ! MA-GIQUE

(ahem , je me relis et je m'apercois que j'avais commencé le paragraphe précédent par "plus sérieusement" ca craint...)

J'ai repris mes mauvaises habitudes du genre dessiner en cours , je capte pas pourquoi ca pose un problème aux profs, tant qu'on participe, qu'on a de bonnes notes et qu'on écoute mais bon, enfin j'ai quand même modéré : seulement 4 dessins depuis la rentrée ( bah oui, j'ai 8h de philo par semaine, et je peux pas dessiner, on copie en moyenne 8 pages en 2heures, donc c'est mort pour mes ptits gribouillis...)

erf, ca veut pas marcher T__T, bah quand j'en aurai plusieurs, jferais un pitit album !

J'ai appris qu'une fille très sympa de ma classe était en fauteuil roulant pour  trois mois. Bassin cassé. En effet ça doit pas faire de bien.

Et ca juste après avoir regardé 1 Litre of Tears / Ichi Rittoru no Namida T____T

En tous cas, tous nos cours ont été transférés au rez-de-chaussée, et puis on lui poussera son fauteuil <3

Au moins, elle sera libre pour Noël, même si je me doute qu'après trois mois de fauteuil, elle aura plein de rééducation et tout...

Aujourd'hui : premier jour de ma dernière année de lycée, et première ( et dernière ) rentrée à ce même lyée. Et oui, je suis arrivé en mars de mon année de seconde, et au moment de ma rentrée de première, j'étais malade à crever...

Ma classe est exactement la même que celle de l'année dernière ( avec une personne en moins et 3 redoublantes ). Donc d'un côté, je reste avec des gens que j'apprécie, et d'un autre, je me tape des pauvres filles au QI de mouche morte pour la deuxième année. Il faut savoir être fort =___=

En tous cas, les magnifiques phrases ( dignes de former à elles seules un recueil comique, et je dis pas ça gentiment ) de notre mascotte mal aimée ont repris XD...Au moins je peux me foutre de sa gueule, et quoi qu'on dise, se foutre de la gueule de quelqu'un, ça fait toujours du bien <3

Je suis plutôt contente de mes profs, surtout la philo, remarque, vu l'ambiance qu'il y avait eut l'année dernière, pas de risque que Brushing-man ( on l'apellera comme ça, pour son anonymat) nous reprenne, donc liberté, compréhension, joie d'apprendre *__*

Et les autres profs sont pas mal aussi, mais comme j'ai pas l'intention deme casser le cul à trouver un surnom à chacun, je m'arrête là.

L'emploi  du temps est franchement bien, à part le vendredi, où je finis à 18h, ce qui, il faut bien l'avouer , est pète-cul pour mes weekend à Paris T___T Bandes de salauds, je vois mon copains qu'une fois par mois et en plus vous me faites arriver à 23h... Je sens que je vais arriver à la gare fraîche comme une moule échouée @___@   GE-NIAL !

D'ailleurs demain j'ai cours de 10h à 11h...En tout et pour tout <3 c'est déjà ça !!!